jeudi 15 septembre 2011


« Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître
Penser, sans n'être qu'un penseur… »
- Ce poème, aux objectifs résolument inaccessibles, clôt le livre de James Darwen : « Le Chic ANGLAIS ».
- Je vous l’avais offert, de retour d’un voyage à Paris, dédicacé par l’auteur. Savez-vous, mon cher, que « Le Chic ANGLAIS » est désormais un ouvrage introuvable ?
- Oui, je lis: « Le Chic anglais, comme tous les bons ouvrages d’élégance, est en rupture de stock. Le trouver d’occasion est une quête, mais le plaisir est aussi dans la rareté ! ». Et il y a une chose qu'on ne pourra pas me retirer: je possède cet ouvrage introuvable. En parfait état!... Hein, quoi?... Bien sûr que non: il n'est pas à vendre!... N'insistez pas: je suis un homme de conviction. Je vends tout : des baisers ou mon talent, mais pas mes principes...
- Ah ! J’aimerai bien connaitre vos principes ! Mais dites : le col de chemise, ça ne va pas du tout!
- Ta ! Ta ! Ta ! C’est un détail que vous êtes seule à remarquer. De cette époque, j’ai conservé un autre vestige: « VOGUE HOMMES : COSTUMES » de novembre 1990. Cette source de « documentation » se retrouve dans ce qui est un autre hommage cinématographique à Alfred Hitchcock. Je l’avais d’ailleurs appelé: « North by Northwest ». Le personnage arbore une cravate en tous points conforme aux exigences du bon gout selon James Darwen : « Se portent très bien les cravates à pois discrets sur fond bordeaux, bleu foncé ou bleu clair, en été. Les pois sont blancs, leur diamètre ne dépassent JAMAIS deux millimètres et ne sont JAMAIS distants, l’un de l’autre, de plus d’un centimètre… » Autant dire que les cravates larges à gros pois sont des accessoires d’AUGUSTE ! Celle du personnage est d’un rouge assez pétant : concession au bon goût que mister Darwen me pardonnera car il s’agit d’une couverture et qu’elle doit être vue !

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