lundi 12 septembre 2011


- J’ai, par exemple, supprimé une scène de luxure que, sur un coup de folie j’avais outrageusement développée. Mea Culpa. C’est une faute qui procède entièrement de moi-même et, quand ce pauvre Nolane a ouvert le livre, il avait été proprement scandalisé : « M’enfin ! - S’était-il exclamé - Ce n’était pas dans le script, encore moins dans « Luger et Paix » ! Attends que M* (l’éditeur d’alors) découvre cette scandaleuse initiative de ta part. Par Cthulhu! Je vois soudain l’horizon se couvrirent de noirs nuages. Peut-être même l’exil, très loin.» Une prédiction si juste que la semaine suivante l’ouvrage était dans les bacs de soldes et que lui-même déménagea pour le Québec… Oui ?... Non : pas de texte ! Craignez-vous que le sens de cette scène échappe à certains ? Simplement cette phrase, sur l’image deux : « C’est l’esprit vide mais les poches pleines que je sortis dans l’air du petit matin… »…
- Et pour le titre : ce sera « Lame Damnée » ou « Luger et Paix » ?
- Le HIC, pour le second, c’est que si l’on prononce LUGÈRE, cela ne veut plus rien dire.
- Pour que sens de la plaisanterie soit compris, il faut dire : LUGUERE…
- ET PAIX ! Dostoïevski ?
- Pfff: Tolstoï !

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