mardi 24 janvier 2012
- Vous voulez dire que, si vous n’aviez pas vu des films comme « KISS ME DEADLY » ou « SHOCK CORRIDOR », vous n’auriez sans doute pas exercé votre coupable commerce ?
- Exactement! Et pas seulement : je dois y ajouter « WHITE HEAT ».
- C’est vrai : je l’oubliais, celui-là: Cody Jarrett ! Un gratiné…
Parker (enfermé dans le coffre de la voiture): It's stuffy, I need some air…
Cody Jarrett: Oh, stuffy, huh? I'll give ya a little air. (BLAM! BLAM!)
- Sans parler de la fin apocalyptique : « Made it, Ma! Top of the world! » Mais revenons à « Magnum Song » dont le personnage principal commence son récit ainsi :
24 décembre 1636, minuit moins le quart.
Jonathan Folishbury, du fond de sa cellule de la Fondation Harrington, broie du noir et songe aux propos de Scrooge dans « Un Chant de Noël » :
- Joyeux Noël ? Au Diable votre joyeux Noël ! Si je pouvais agir à ma guise, tous les imbéciles qui parcourent la ville en criant « joyeux Noël », seraient mis à bouillir dans leur pudding et enterrés avec une branche de houx dans le cœur… »
- C’est horrible de dire des trucs comme ça.
- Exactement ce que lui répond son neveu, à Scrooge.
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