mardi 21 mai 2013
La Havane, « la ville où l’on ne dort jamais »...
- Je vois : l’histoire de Johnnie le saxophoniste se termine sur une dernière complaisance de votre part : le dessin de vieux rafiots à l’étrave droite et de vieux coucous, de préférence amphibies.
- Qui, ni les uns, ni les autres, n’ont les faveurs du public ?
- En tous cas très peu. Où la fuite de ce personnage se termine-t-elle ?
- A l’origine, c’était dans la presqu’île du Yucatan. Mais, vous vous en souvenez peut-être, de vicissitudes en changements de propriétaires (Les Humanos finirent en les mains d’un consortium suisse), l'album ne fut jamais achevé... Et donc Johnnie se retrouve à Cuba, plus précisément du côté de La Havane, « la ville où l’on ne dort jamais ». Là, il est engagé pour jouer au « TROPICANA »...
- Le célèbre casino dont les artistes disaient : « Rien ne pouvait rivaliser avec le sueño qu’était le Tropicana. Le Tropicana, c’était le sommet. Premier danseur ou simple choriste, vous aviez le sentiment d’appartenir à la famille royale... »
- Exactement. Au « TROPICANA », Johnnie est au PARADIS et il pense que c’est pour la vie...
- Nous sommes FIN octobre 1958...
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