vendredi 23 décembre 2011


- C’est le Rédac’ Chef de « A SUIVRE » qui a du pousser un « OUF » de soulagement en se rendant compte qu’il avait échappé à la chute de ce « météore graphique dont les compositions extraordinairement intenses et l’univers très noir marqueront les premiers temps du magazine » ainsi que l’écrivait l’auteur de cette somme : (A SUIVRE) UNE AVENTURE EN BANDE DESSINÉE…
- Racontez ce qu’il vous chante mais vous ne pourrez m’enlever le fait que « Paris-Fripon » a très bien marché. Il y eut en eût deux rééditions, l’une dès que l’Écho des Savanes fut racheté par « ALBIN MICHEL » et une dernière, augmentée d'un prologue…
- Totalement inutile. Il y eut même un portfolio titanesque reproduisant quelques planches dans leur format original.
- L’ouvrage était superbement préfacé par Jean Vautrin.
- Personne ne vous refusait rien, à cette époque. Vous étiez, et à vos frais, monté spécialement à Paris pour numéroter et signer les exemplaires mais vous n’avez jamais touché un sou sur cette affaire. Pire, le photograveur (car une fois de plus vous aviez voulu superviser cette étape), vous rappela toujours qu’il n’avait jamais été payé non plus... Dites : vos décors rappellent étrangement ceux où se déroule ce drame conjugal de Pierre Granier-Defferre, « Le Chat ».
- Il y a une bonne raison à cela : il s’agissait, dans les deux cas, de Courbevoie.
- Les vôtres sont encore plus déglingués.
- Les BULLDOZERS avaient poursuivis leur œuvre et il ne restait plus que des ruines de ce qui avait été Le Rond Point de La Défense et tous les quartiers qui l’entouraient, du Pont de Puteaux jusqu’à L’Ile de la Jatte.

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