samedi 13 août 2011
Les rêves, la vie, c'est pareil...
Après leur évasion de l’asile d’aliénés, Miss Plunkett et Charles Neville se retrouvent dans une chambre d’hôtel. Sans que je me souvienne trop pourquoi. Ni ce qui explique le fait que la demoiselle soit encore toute nue !
Miss Plunkett: Je ne veux pas vous faire de peine, Charles, mais il faut que je vous ouvre mon cœur: Vous m'avez beaucoup déçue! Je vous aimais parce que vous aviez du génie et de l'intelligence. Mais sans votre art, vous n'êtes rien!
Charles: Allons, reprenez-vous: C'est dans les livres qu'on aime comme ça, pas dans la vie!
Miss Plunkett: Les rêves, la vie, c'est pareil ou bien alors ça ne vaut même pas le coup de vivre! Vous avez tout gâché. Vous n'êtes plus pour moi qu'un étranger sans la moindre affinité et je ne saurais me satisfaire d'une relation aussi médiocre! Rassurez-vous, par respect envers mes sentiments anciens, je ne vous mutilerais pas!
Charles: Cool!
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